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En faite ça devient tellement une habitude que mon enculé de moniteur rigole à chaque fois que je le rate tellement je le rate pour des bricoles, des conneries, mais hier matin il a pas eu le temps de rigoler parce que lui et l'examinatrice ont eu la peur de leur vie.

Bon déjà elle se pointe, une nana de 45 ans, petite en taille, elle me fait le topo et on démarre. 5 premières minutes se passent bien , tout roule, des ronds points quasiment vides. On arrive sur une route nationale et là un vieux pépé se traîne à 65 à l'heure donc je me mets en position de dépassement. Je voulais me décaler un peu sur la droite pour voir si rien ne venait d'en face et au dernier moment je vois dans mon rétro que le mec de derrière moi va me dépasser. Et cette SALOPE DE TRUIE D'EXAMINATRICE a cru que je ne l'avais pas vu alors elle tire mon volant en criant " Attention bon sang dépassez pas vous êtes entrain d'être dépassé !! "

Alors là c'était le sommet du vase ! J'ai accéléré comme un porc après que le mec m'aie dépassé et j'ai hurlé aussi fort que je l'ai pu :
- MAIS JE L'AI VU CETTE PUTAIN DE VOITURE ! JE L'AI VUE QU'ELLE ME DEPASSAIT JE COMPTAIS PAS DEPASSER MAIS ME RABATTRE POUR LA LAISSER PASSER ! POURQUOI T'AS TOUCHE LE VOLANT ? HEIN ? POUR ME FAIRE RATER ?? TIENS JE VAIS T'EN DONNER DE LA CONDUITE !

Et là j’accélère mais cette conne frenait avec sa pédale . ALors moi au sommet de ma colère je lâche le volant et lui dis " TIENS CONDUITS, TOI L'EXPERTE DE MES DEUX COUILLES ! " Et je l'ai laissé gérer la voiture depuis son siège pendant que moi je tambourinais sur le volant qui klaxonnait toutes les deux secondes !

Mais j'étais trop vénère ! Alors qu'elle se rangeait sur le côté je lui lance :
- VOILA ! ENCORE 200 EUROS CLAQUES DANS LE VENT ! CA FAIT UN AN ET DEMI QUE JE PORTE LE MEME PANTALON PARCE QUE TOUS MES SOUS VONT DANS VOTRE PERMIS DE MERDE . CA VOUS FERAIT QUOI DE PORTER LA MEME JUPE PENDANT UN AN ET DEMI ? CA SENTIRAIT LA MORUE LA DEDANS !

Là le mono qui était paniqué me tapait sur l'épaule en disant " Gérard doucement, doucement Gérard, c'est pas grave "
L'examinatrice se range sur le côté et me dis " Monsieur vous êtes pas possible, vous avez de la chance que je sais garder mon calme mais je ne peux pas vous donner le permis si vous avez de telles réactions au volant ".

- RIEN A BRANLER DE TON PERMIS ! que je lui dis. Et là j'ai eu une pulsion violente , une sorte de rage intérieure qui est montée et je me suis laissé glisser sur le siège pour rouler mes jambes vers le haut , et j'ai commencé à donner des coups de pieds dans le plafond en criant " LAISSEZ MOI SORTIR ! JE SUIS PRISONIER DE CES DEUX CONS ! " Le mono est sortie, a ouvert ma porte et a essayé de me faire sortir mais je lui ai mis un coup de poing dans les couilles et là il est devenu tout rouge et a crié :
" BON GERARD CA SUFFIT MAINTENANT ! Arrete de te comporter comme un enfant ! "
" FICHE MOI LA PAIX LE MONO VA SOIGNER TA CALVITIE " que je lui sors et là je me suis mis à cracher sur le levier de vitesse puis j'ai regardé l'examinatrice avec un sourire pervers et je lui ai dis " VAS-Y , JE L'AI LUBRIFIE MAINTENANT, SUCE LE ! "

Cette dernière sort du véhicule et demande au mono si elle doit appeler la police. Quand j'ai entendu ça je me suis calmé alors le moniteur m'a gentiment demandé de me mettre à l'arrière et là j'ai dit " D'accord, écartes toi je vais sortir " .

Le mec s'écarte et moi j'ai vite fermé la portière , bloqué les portes de l'intérieur, redémarré la bagnole et j'ai avancé sur 50 mètres en klaxonnant comme un malade. Puis j'ai fait marche arrière et j'entendais le mono qui disait " Gérard ! Tu vas faire une connerie arrête, tu vas tomber dans le ravin "
- AH OUAIS BONNE IDEE ! que je dis, et j’accélère droit dans le champ de maïs . J'ai niqué toute une rangée de maïs comme ça et comme le mono me courait après et tapait dans la vitre je lui ai dit " EH ! LE MONO ! JE ROULE A L'HUILE DE COLZA REGARDE ! "
Et je m'amusais à tourner en rond dans le champ. Au bout de cinq minutes y'avait deux voitures garées sur le côté de la route depuis lesquelles des gens regardaient la scène, éberlués.

Puis finalement la police s'est pointé et là j'ai compris que j'étais dans la merde. Un gendarme tapait dans la vitre pour lui ouvrir mais j'ai eu tellement peur d'aller en prison que j'ai eu une envie de chier. Mais genre la grosse envie de bourrin. Alors je baisse mon pantalon, celui que je portais depuis un an et demi, et je laisse une petite crotte dans le porte-canettes derrière le levier de vitesse. Y'a rien d'autre qui est sorti pourtant je me suis bien forcé , c'était pas normal. Alors je regarde le flic et lui dis
" Vous m'intimidez pour ça que je peux pas couler un bronze normalement "
Mais bon Dieu ce qu'elle puait la crotte. J'ai été obligé d'ouvrir une fenêtre pour aérer et là les gendarmes se sont rués dessus pour essayer de me chopper avec leurs bras.
- Sortez du véhicule monsieur ! Sortez du véhicule sinon on va devoir employer la manière forte.

Ils étaient sérieux en plus les gendarmes , ils faisaient trop peur. Ce qui fait que j'ai encore eu envie de chier et là c'était la bonne, c'était la grosse juteuse qui venait. Je lâche un gros prout bien violent et soudainement ce fut la libération de ma colère. Une chiasse comme je n'en ai jamais eu est sortie de mes entrailles pour finir sur la banquette arrière et la vitre côté droit. J'écartai bien mes fesses pour montrer le résultat aux gens qui regardaient depuis le côté de la route.

Impossible de rester dans toute cette merde alors j'ai ouvert la portière, j'ai senti deux gros bras me tirer à l'extérieur et me traîner dans le champ dont les pétales de maïs grattaient mes fesses.

Là je suis accusé de :
- mise en danger de la vie d'autrui
- dégradation de biens privés
- refus d'obtempérer
- Agression verbale


Comparution devant le Tribunal de Lille jeudi à 09h00