Atelier, astuce, technique, blabla ...

Raw vs Jpeg Round one !!


Jpeg >> traitement de L'apn + post traitement lightroom >> contraste +9
>> saturation +5
le peu de données que j'ai sur le jpeg ne me permettent pas de travailler sur la netteté sans rajout de bruit...






Raw >> Brut, traitement lightroom + sharpener Pro
le gros du traitement de mon raw ce fait sur la netteté, structure, contraste, saturation.
j'utilise le petit soft "sharpener pro" de nik software, plug pour lightroom, pour retrouver les détails et la mise au point original.

RAW brut


RAW après traitement





1/0 pour le Raw j'ai pus retrouver les teintes et l’atmosphère dans le Raw, différence de couleur de la vigne, couleur des pierres du moulin...

C'est clair qu'on voit nettement la différence.

Je préfère le JPEG.

Crou-27 a écrit:Je préfère le JPEG.

1. La Voie Lactée (Par D@dou le 14 sep 2011)

pour voir la Voie Lactée, il faut attendre que la nuit soit noire. Si les conditions sont bonnes, vous la verrez très rapidement.



Pour cette photo :

Objectif : Canon 15mm f2,8 fisheye

Je n’avais pas assez de recul avec mon 17mm pour avoir à la fois la Voie Lactée, et le lac de Peyre en bas. Le Canon 15mm f2,8 fisheye permet d’avoir une vision 180°.

Ouverture : f2,8

La plus grande ouverture pour laisser entrer un maximum de lumière.

Vitesse d’obturation : 30s MAX

Vous serez tenté d’augmenter la vitesse d’obturation au delà des 30 secondes : c’est à proscrire. En effet, au delà des 30 secondes, on ressent sur les photos la rotation de la Terre, et donc le déplacement des étoiles. Vos étoiles seront donc floues si vous dépassez cette valeur. En aparté, pour une photo de lune par exemple, cette limite est d’1s30 environ, au dessus, votre lune sera floue.

Sensibilité : 3200 iso

Comme mon ouverture et ma vitesse d’obturation sont figées, il est nécessaire de jouer sur la sensibilité de votre capteur. Pour ma part, je suis monté à 3200 iso mais à 2500 iso la photo est exploitable.

Technique de prise de vue pour les éclairs de nuit

Nous voici au coeur du sujet: photographier les éclairs. L'exercice semble difficile mais c'est un entrainement. Seule une technique bien maitrisée permet d'envisager une belle moisson. Ma règle de base relève d'une simple déduction: l'éclair est un phénomène furtif, de très courte durée. Le réglage du temps de pose sert à exposer le paysage, et l'ouverture du diaphragme l'éclair.





Apprendre à exposer correctement un paysage de nuit en fonction de l'ouverture et du temps de pose est un exercice profitable. Il permet aussi de comprendre le fonctionnement de nos boitiers et le rendu des clichés selon le type de paysage. Au dessus d'un centre urbain, une pose longue accentue le voile rougeoyant, ce qui est parfois désagréable. On préfère alors diminuer le temps de pose (2


4.1 Réglages

Certains réglages sont immuables. Sauf cas exceptionnel, la sensibilité est calée au minimum, c'est à dire 100 ou 200 isos selon les boitiers. Le boitier est réglé pour prendre des photos en RAW + JPG et la balance des blancs en automatique. On opte pour une position manuelle (M), y compris pour l'objectif qui sera débrayé et placé en position infini. Le boitier est posé sur son trépied, horizon bien droit à l'aide du niveau. La télécommande est connectée.

- Temps de pose: selon la luminosité ambiante (nuit profonde ou pas), et la lumière artificielle, on expose plus ou moins la scène. 2
- Ouverture:

> Lorsque l'orage est lointain, le diaphragme est bien ouvert, ne pas hésiter à descendre entre F/2.8 et F/4. Lorsque les éclairs sont distants, tout comme pour le soleil au coucher, la couche atmosphérique ne laisse passer que la partie rouge du spectre.

> Progressivement, l'orage se rapprochant (10 à 20 kms), la luminosité des éclairs est plus forte. Les tons deviennent bleu ou violet, selon la composition de l'atmosphère (pluie, grêle ou particules). Il est temps de fermer le diaphragme à des valeurs comprises entre F/4 et F/7.1. Il s'agit d'une étape intéressante, puisqu'il est possible de travailler ses compositions au grand angle, ou de zoomer et se concentrer sur l'aspect électrique du phénomène.

> Enfin, lorsque l'orage est proche, ce sont les éclairs qui exposent le paysage. Le diaphragme doit être fermé pour éviter la surexposition du canal électrique, entre F/7.1 et F/13 ( dans ce dernier cas vous êtes au contact...). Pour compenser la fermeture du diaphragme et augmenter ses chances de capturer des éclairs, il est préférable d'augmenter également le temps de pose, jusqu'à 30 secondes.

- Focale: elle résulte d'un choix personnel. Selon que l'on recherche une ambiance orageuse ou l'éclair lui même. Si l'atmosphère n'est pas limpide, une focale trop longue n'est pas souhaitable. Lorsque l'orage se profile, les structures nuageuses sont de toute beauté et l'on peut tirer partie de cette ambiance particulière pour obtenir des atmosphères dramatiques, des focales moyennes ou courtes feront parfaitement l'affaire. Si l'orage est lointain mais très électrique, pourquoi ne pas tenter un zoom sur la partie la plus active ? (70-100 mm).



4.2 Astuces

- Lorsque c'est possible, il est préférable de s'installer de façon à placer le boitier dans le sens opposé du vent, ce qui diminue le risque de gouttes d'eau sur l'objectif.

- Couper la partie inférieure du pare soleil pour limiter le rebond des gouttes d'eau sur l'objectif.

- Lester le trépied pour diminuer les éventuelles vibrations.

- Utiliser deux boitiers avec des focales différentes afin de couvrir différents angles.

- Augmenter le temps de pose à 1 minutes pour faire apparaitre plus d'éclairs sur le cliché.



5 Technique de prise de vue pour les éclairs de jour

Si elle n'est pas l'objet de ce dossier, la photographie d'éclairs de jour constitue un challenge intéressant. Sans développer outre mesure cette partie, on peut citer trois techniques différentes mais complémentaires.

Prise de vue en rafales: On veillera à augmenter le temps de pose à quelques dixièmes de secondes, en fermant l'objectif (F/10 au minimum), de façon à capturer l’éclair et toutes ses ramifications.

Filtre ND8: Lorsque l'obscurité est suffisante, il permet d'abaisser le temps de pose à une seconde, ce qui est suffisant pour envisager des séries un peu plus longues.

Une troisième technique consiste à utilliser un dispositif électronique de détection de la lumière. Les boitiers modernes sont très réactifs et le déclenchement quasi instantané mais les ramifications sont souvent perdues.


N.B Le trépied reste indispensable



6 Post traitement

Pour tirer parti des qualités de mon matériel, et laisser une petite marge de latitude, tous mes clichés sont pris en RAW + Jpeg. Le workflow est le suivant:

- Mon derawtiser est Capture NX
- Ajustement des niveaux si l'éclair est surexposé ou le paysage largement sous exposé
- Ajustement de la balance des blancs (la mesure automatique donne souvent des résultats acceptables).
- Conversion de profil (je travaille en AdobeRGB98)
- Enregistrement au format Tiff 16 bits.
- Les dernières retouches et ajustement de niveaux sont effectuées à partir de Lightroom ou PSP.



7 Conclusion

Si photographier les orages est devenu plus simple avec le matériel numérique, le vrai challenge est de trouver un style, et transcender, en images, la communion des éléments. La dimension esthétique des éclairs, placés dans un contexte humain, témoigne de la toute puissance des éléments. Il s'agit d'un thème qui fascine les Hommes. Car l'orage, qu'on l'apprécie ou non, ne laisse pas indifférent, c'est ce qui fait toute la force de la photo d'orage.

Ouf balèzes les photos!
La première j'essayerais dés que le temps se dégage. J'ai déjà essayé une fois mais sans succès, les étoiles font un trai dû a mon temps de pose.
Parcontre il est en ISO 3200 et F/2,8
Je vais pas jusque là avec mon appareil

Ah bon ? Moi j'ai f/3,5 et ISO 3200. (Je peux monter jusqu'à ISO 12800, mais c'est des mesures "d'urgences".)

Sur le miens c'est f/4,8 et ISO 1600 (ou Hi1 mais je ne sais pas ce que c'est)
Mais bon c'est qu'un D60

Bon c'est la nouvelle lune, hier soir 00h15 superbe nuit étoilée, et notre voie lactée visible (pour ma part) sous une forme de nuage céleste qui traverse le ciel, à l'oeil nue c'est ce que j'ai vus.

je jette un oeil vite fais le tuto posté plus haut histoire de pas faire d'erreur de réglage..


déjà j'ai eu pas mal de pollution lumineuse, même si je vis en rase campagne, la moindre lumière et effectivement très gênante.

je pose le trépied, je règle mon Apn, et la soucis, mon bridge n'a pas de mode bulb (qui permet de forcer le temps de pose) donc en gros si je régle à 3200 iso, ben je ne peux plus allongé le temps de pose, à 3200iso je n'ai droit qu'a 1" de temps de pose Arf ça craint

donc je redescend à 100 iso, f2.8, 30" de TP, focal en grand angle et un réglage de la MAP en manuel sur l'étoile polaire (la seul visible sur mon petit LCD, et encore j'ai mis 5min à la trouver).

je me cale en RAW+JPEG et je shoot (déjà je sait dans ma tête quand iso100 je n'aurais pas la voie lacté de visible, sensibilité trop faible)

voila mon shoot brut sortie tout droit de l'APN




Voila mon shoot traité avec lightroom en augmentant légèrement l'expo pour palier mon iso 100



voila poussé un peu plus, "encore retissant sur le RAW ??? pourtant la je crois qu'on voie clairement toute les étoile que j'ai récup grace au RAW, a tel point qu'on distingue très bien la ceinture d'orion







alors , en parcourant des fofo sur les technique d'astrophotographie, il y en a une qui revient souvent c'est celle du Dark, qui consiste à faire un shoot normal réglage iso 3200 F2.8 30", puis après, replacer le capuchon sur votre objectif sans toucher au réglage et refaite un shoot
une fois sous toshop, compiler les 2 shoot, cela aura pour but de réduire le bruit causé par l'iso et de ne faire ressortir que les étoiles.....



voila maintenant ce qui ma donné envi de faire de l'astro photo, et de voir à quelle point nous somme si petit dans cette univers ....

Mon grand père fait de l'astronomie, si je me trompe pas il a même découvert une planète.

http://www.astrosurf.com/apex-occult/auteur.htm

Il est très reconnu dans ce domaine, mais bon je ne le voit plus depuis que j'ai 4ans, et en dehors de ça c'est un gros c*n*rd donc je ne le regrette pas...

un vrais chasseur d'étoile ton GP Mat, j'ai lus quelques truc sur lui



Tous a vos APN !!!! today ya un satellite de la NASA qui va rentrée dans l’atmosphère, on risque donc de voir une boule de feu dans le ciel, facile à shooter de jour....

Je sais bien, mais on sait pas où il tombe.

Il est tombé où et à quelle heure?

Apparement, il est tombé cette nuit, mais la Nasa ne sait pas où il est tombé...

lol Ca fait quand même la taille d'un bus! Ils arrivent à repérer des gens par satellite, j'arrive à voir mon jardin sur google Earth grâce à tout ça, mais quand y en a un qui se plante on ne sait pas où il est J'adore

Ca c'est sûr

Voila, je vous propose un petit logiciel pour vos astro-photo DEEPSKYSTACKER très sympa et treeeeeeeeees puissant, pour peu que vous shootiez en RAW+JPEG biensur
je vous rapel encore que le jpeg simple supprime une grande quantités de donnée ...


http://deepskystacker.free.fr/download/french/DeepSkyStacker.zip


pour utiliser ce log rien de plus simple

d'abord, et en vous aidant du tuto plus haut pour shooter les étoiles, prenez 5 clichés max du ciel étoilé + un Dark à chaque fois, donc un shoot normal suivi d'un shoot avec le capuchon sur l'objectif sans changer les réglages..

-ouvrer vos RAW et sauvegarder les en TIFF..

-ouvrez DSS, puis cliquer sur "ouvrir des images", ctrl pour sélectionner vos 5 clichés

- puis cliquer sur "ouvrir des fichiers Dark" même topo

-en bas, cocher toutes vos images puis maintenant cliquer sur "calculer les décalages"

-une fois le décalage fini, cliquer sur "empiler les images coché"


un fois que DSS à fini le calcul, vous voici avec une seul image de votre ciel étoilé

je clique ensuite sur "enregistrer l'image" - compression "aucune" - mode "RVB 16 INCh" et cocher la case "appliquer les ajustement à l'image enregistré"


pour les Dark, perso sur mon exemple ci dessous il n'y sont pas, je n'ai pas pensé à les faire, du coup il y à énormément de bruit
je découvre le logiciel depuis peu mais le résultat ma scotché, sachant que j'ai shooté le ciel avec de la pollution lumineuse, dans mon jardin un peu à l'arrache.

alors à la montagne avec une nuit bien noir et très claire, j'imagine même pas ....


voici un des 5 shoot en brut non traité




voila mes 5 images calculé par DSS, le TIFF pesait 50 mo à la sortie, certes il y a beaucoup de bruit, mais je débute, ce que je voulais surtout, c'est apercevoir la voie lactée sur mon cliché, c'est chose faite...






voila mon rendus final, apres un petit passage sous Toshop histoire de finir de réduire un peu le bruit, et faire ressortir notre galaxie




ce que j'ai calculé, c'est que sur mon appareil, le temps de calcul entre chaque prise en RAW et long, plus le dark pfffiou et la terre tourne, du coup je me retrouve avec de gros décalage entre chaque prise

Waw, sur la dernière c'est magnifique!

Je songe prochainement à changer mon télé-objectif pour quelque chose plus long en focale. Le 200mm se révèle court dans de diverses situations et il m'est nécessaire que d'avoir une focale plus ou moins égale à 300mm. J'aurais par conséquent besoin de votre aide afin de faire le bon choix, et que celui-ci soit raisonné. Je me fixe un budget maximum de 800 euros, neuf et occasion confondus. L'option non négligeable sera le stabilisateur, avoir un gain de 3-4 ILL n'est pas négligeable !

Mes différentes options :

- Canon EF 300mm f/4 IS USM ( Trouvable dans ces tarifs )
- Canon EF 100-400mm f/4.5-5.6 L USM
- Sigma OS HSM 120-400 f/4.5-5.6

Autre possibilitées :

- Canon EF 70-200 L F4 IS + Multiplicateur 1.4 ou 1.6
- Sigma 70-200 OS HSM f/2.8 + Multiplicateur 1.4 ou 1.6

Et puis si vous me trouvez de bonnes annonces rentrant dans mon budget, n'hésitez pas à me les passer.
Si vous avez essayer l'un de ces objectifs, n'hésitez pas à le dire ce que vous en pensez.
Lequel me conseillez-vous et pourquoi.